Ne succombe pas

Yo les gens, je me lance dans une histoire fantasy (ma première... ). Pour les connaisseurs, des petits clins d’œil seront fait, à vous de les trouver. Au fait, j'accepte tous les commentaires bon ou mauvais MAIS constructifs (sinon je vais pleurer devant une série avec de la bouffe et je vais grossir). Et pour finir je ne donne pas de date pour mes postes, je le fais quand je veux, ok, je suis une grosse thug life  . J'essayerai d'être régulière pas comme avec mes devoirs.
Sur ce bonne lecture







 
Je vous vengerai promis.





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Voilà un mignon début très classique, dites moi ce que vous en pensez !!!

... Mais c'est trop cool! Vite vite, la suite!

Franchement, c'était facile à lire et cool pour un début. L'histoire m'intrigue grave, j'ai hâte de voir ce qu'il se passera...
Et j'ai rien de très constructif à dire, oups, mais continue j'adore!

je suis désolée car ce commentaire n'est pas très constructif car je suis tut simplement sous le charme de ce début !! Vraiment le stress montait au fur et à mesure de la lecture !! J'adore !!! Vivement la suite mais si c'est comme ce début je suis pressée de lire !!

Après huit heures d'avion et de deux heures de voiture, j'étais enfin arrivée devant ces imposantes grilles gravées d'un style ancien. La grille s'ouvrait lentement comme pour faire monter le suspens. La voiture s'avança sur les gravillons avec lenteur. L'allée était remplie de fleurs et d'une foule monstre avec des enfants criant, de parents parlants entre eux et de ados de mon âge tentant de montrer leur force de diverses manières. Arrivée devant le bâtiment, je sortis de la limousine suivit de mes parents se tenant la main. Le chauffeur sortit ma valise, me la donna puis s'en alla sans un mot.
- Maïa tu viens ! M'ordonna mon père de ses yeux d'un noir profond, me faisant comprendre d'être docile et aimable. Comme d'habitude, je serai sage comme une image.
- Ouais, ouais j'arrive, soufflais-je en suivant mes tuteurs.


Cédrine, ma tutrice possédait de longs cheveux blonds lui arrivant jusqu'à la taille, des yeux de couleur identique à ceux de mon tuteur, un corps parfait, un visage parfait, une taille parfaite 1m75, en quelque sorte, tout était parfait chez-elle, même la tache de naissance sur son poignet droit ressemblant à une goutte d'eau. Tandis que son mari était son exact opposé avec pour seul ressemblance, leurs yeux. Ses cheveux étaient bruns et très court, pour ne pas dire chauve, il avait une carrure de rugbyman avec son 1m96, de petites tâches de rousseur sur son nez, en tout cas, à côté d'eux je devenais une tâche sur leur tableau parfait. Je suivais mes parents quand une fille de mon âge me bouscula ;
- Tu ne pourrais pas faire gaffe, fais chier, on est même pas le premier jour que c'est déjà chiant. La fille baissa la tête et partit rapidement.
Je me relevais avec la grâce d'une patate, épousseta mon pantalon et levais la tête. Un regroupement c'était fait autour de moi avec en première ligne mes parents qui bouillonnaient de colère et tentant de le montrer le moins possible, bien essayé. Voyant leur colère, je ne tenais pas à en dire plus et les rejoignis. Mon tuteur m'attrapa le bras, se faufila dans la foule qui s'écartait à son passage. J'allai m'en prendre une.
A peine arrivée à l'intérieur de l’amphithéâtre vide que je n'ai même pas le temps de profiter du décor que je me prenais une gifle monumentale, bonne déduction Watson. Mon père me criait dessus ;
- C'est le troisième lycée que tu fais et ça sera le dernier, tu le sais ça. Je hochais de la tête, mais cette fois si je n’avais pas baissé les yeux, il renchérit. On n'est même pas rentré que tu commences à chercher des ennuis. Je te rappelle que ce n'est pas parce que nous t'avons adopté, que tu peux te permettre de nous manquer de respect. Nous partons dès la fin des tests, espérons que tu les réussisses, sinon tu devras de débrouiller toute seule.
- Daniel, je t'interdis de dire ça, ce n'est pas de sa faute. Tu sais très bien qu'elle n'a rien demandé pour ces pouvoirs, rétorquait ma mère.
- Je m'en moque, je ne sais même pas ce qui m’a pris de la prendre avec nous. Elle ne nous mérite pas. Nous payerons ton école mais ne me demande rien de plus. L’homme en face de moi partit du bâtiment sans un regard en arrière, alors que sa femme me serra dans ces bras puis partit rejoindre son mari en courant. Pourtant, je ne m'étais pas effondrée, je restais immobile le regard dans le vide. La porte principale s'ouvrait en grand tandis que la foule me passait à coté sans un regard. Mais bon j'avais bien envie de faire taire ce vieux bougre qui me servait de père en lui prouvant qu’il avait tort.
Je décidais de suivre la foule, se ruant à la recherche de la meilleure place dans l’amphithéâtre, la mort dans l’âme.  Un homme monta sur l'estrade prévue à cet effet, de par sa tenue et de son éloquence, il attirait tous regards, dont le mien ;
- Bienvenue, chers futurs élèves, maintenant que tout le monde est là et que les portes sont clauses, l'épreuve va pouvoir débuter. Nous ne répondrons pas à vos questions concernant celle-ci. Nous tenons à la tenir en secret. Sur ce, je vous souhaite bonne chance.


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Fin du chap 2 les licornes, bon celui j'étais absolument mais absolument pas inspiré, je tenterai de me rattraper pour le prochain. Allez bisous sur le front moi je vais bouffer.

Hééééé pas très gentil ce Daniel dis donc

Bref, j'ai grave aimé évidemment, je VEUX savoir ce que c'est que cette épreuve!! Maïa c'est grave un bon prénom pour un personnage principal je trouve = D

Pour ce qui est du constructif, j'ai un peu tiqué sur quelques fautes d'orthographes, par exemple quand tu veux écrire au passé, les verbes du premier groupe à la 1ère personne se termine en -ai. Par exemple: Je me levai, j'époussetai, je la poussai etc...
Ensuite ne pas confondre se et ce, mais je pense que c'était plus de l’inattention qu'autre chose là ><


Aussi, un tout petit conseil pour te faciliter la tache: écris soit tout au passé, soit tout au présent, comme ça il n'y aura pas de décalage dans l'histoire. Par exemple, écrit l'action principale au présent, et quand tu veux raconter des flashbacks par exemple, là tu peux mettre du passé simple et tout... Après c'est qu'une suggestion, on a plus l'habitude d'écrire au passé simple, crois moi je suis une habituée du passage présent/passé héhé :')



Bref, ça me dérangerais pas d'éventuellement corriger les fautes d'orthographes s'il y a besoin donc n'hésite pas à m'envoyer tes chapitres en DM hein!


Tschuss

L'amphithéâtre venait enfin de fermer ces portes. Je me dissimulais derrière les grands rideaux de la scène, à l'ombre des projecteurs braqués sur le proviseur tout souriant avec ses grands airs de monsieur gentil. Tandis que dans le public, les futurs élèves s'agitaient sur leur siège, impatient de savoir la suite de leur futur aventure.
Tous naïfs.

Les plus vieux, eux, savaient ce qui allait se passer et étaient crispés sur les fauteuils de velours. Peut importer les lieux, les pays ou les années, tout le monde, du moi les initiés, savait qu'elle était la plus dangereuse voire mortelle, seul les enfants de personnes avec un ego-surdimensionnés viennent ici et la plupart n'en ressorte jamais.
Et j'avais pour mission d'en protéger un, ou une plutôt.

Les lumières s'éteignaient alors que l'on lançait le départ. On s'avançait, tel des serpents pistant leurs proies, aussi silencieux que la tombée de la nuit, prévisible pourtant toujours redouté. Ma cible était la fille adoptive d'un des douze mages, encore un puissant qui pensait me contrôler -qu'ils sont lassant. Me faufiler derrière elle ne fût pas un problème tant elle l'avait l'air obnubilé vers la scène attendant qu'il se passe quelque chose. Malgré l'obscurité constante de la salle, j'avais pu apercevoir que tous les maudits étaient en place, le visage crispé attendant la suite.

Au coup de sifflet, je lui plantais la seringue hypodermique dans le cou, tout en la tenant le plus fermement possible pour éviter qu'elle ne se défende et ne se blesse. Quelques secondes plus tard, elle s'effondrait dans mes bras.
Maintenant c'était une course à la montre qui commença. Je devais l'emmener dans la salle blanche pour me permettre de faire le lien et la protéger de tout intrus.
Hors de question qu'un autre meurt encore dans mes bras à cause des Ombres.
 
Je poussais la porte de mon épaule d'un mouvement brusque. Avec le bruit sourd que j'avais créé, les soigneurs se retournaient en sursaut. Ils réagissaient au quart de tour en apercevant le corps endormi, qui pendait dans mes bras. Ils me l'enlevaient des bras et me poussaient vers les machines tout cela dans un silence oppressant. Sans ménagement, ils m'allongèrent sur la table.
 - respire, respire, tu n'es plus en danger, m’intimidais-je mentalement.
Les capteurs en place sur nous deux, un des soigneurs - dont je ne pouvais reconnaître à cause de son masque - lança le compte à rebours :
- En place tout le monde. Les sons constants des pas s'arrêtèrent. Trois... deux... un... maintenant.
Les électrochocs déchargeaient leurs énergies alors que mon cœur s'arrêtait de battre.

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Yo, j'ai enfin réussi a écrire la suite mais je veux essayer d'être plus régulière. Salut le monde des pandas

Trop cool la suite !!!! J'adore toujours autant ! Bon courage pour la suite !